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Des matières véganes oui, mais pas synthétiques!

Aujourd’hui la cause animale est de plus en plus au cœur des réflexions des marques de mode. Et c’est tant mieux ! Créer un produit en fourrure naturelle est aujourd’hui inimaginable pour une marque. Cela engendrerait de manière automatique un « bad buzz » Les matières en python, crocodile et autres cuirs exotiques suivent la même tendance. En avril dernier, Sandro, Maje et Claudie Pierlot annonçaient qu’ils n’utiliseraient plus de peaux de reptiles citant la « souffrance de ces animaux dépecés parfois même vivants »

Le prochain dossier sera le cuir. Il suivra forcément la même chemin. Dernièrement, les images choquantes des vaches maltraitées dans un laboratoire français a eu beaucoup d’écho dans les médias. (source association L214) 

Alors que peut-on utiliser pour remplacer toutes ces matières ? L’alternative traditionnelle la plus connue est le cuir synthétique.

Ça consiste en quoi concrètement le « skaï »? 

Pour grossir les traits, c’est un liquide plastifiant mélangé à du PVC en poudre pour créer une texture plus épaisse. On ajoute des colorants, on met au four et on applique plusieurs couches sur une toile de coton (!) et tadaaa, voilà du synthétique ! S’il est vrai que cette matière ne comporte pas d’élément animal, on ne peut pas dire que cette matière plastique d’origine pétrolière soit éco-responsable. Le comble est que le plastique aujourd’hui se retrouve dans les écosystèmes les plus reculés comme les mers profondes. Bref le synthétique ce n’est pas non plus la joie pour l’environnement.

L’avenir est aux matières à base végétale

L’avenir est aux matières à base végétale à l’impact carbone réduit, très souvent recyclables, parfois même biodégradables comme la gomme naturelle ou encore à des matières à base de végétaux renouvelables comme la fibre de maïs ou celle de champignon.

Ces matières ont encore des points d’améliorations que nous développerons prochainement. Malgré tout, ce sont des avancées certaines aux alternatives existantes à base animale.

En plus ça permet d’éviter le « skaï » !

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